Flics de choc (1983) |
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Réalisateur : Jean-Pierre
Desagnat Fiche technique: ici CASTING
SYNOPSIS Alors qu'elle devait participer à une émission de
télévision dénonçant, par son témoignage et celui de son amie Sylvie, un
réseau spécialisé dans l'enlèvement et la prostitution (dans une maison de
plaisir dirigée par la « Maîtresse », après un passage dans une maison de «
dressage »), la jeune Marie-Christine est assassinée. L'enquête est confiée
au commissaire Beauclair et à ses « flics de choc » : Wanda Roumanoff, l'amie
de Beauclair, Scorda le Niçois, FTN, au nom mystérieux et à l'allure de
rocker, et Audray. Beauclair et Wanda filent à la télévision où doit avoir
lieu l'enregistrement de l'émission. Quand ils sortent du studio avec Sylvie,
le tueur les attend. Sylvie est abattue, Wanda blessée. Les flics de choc
vont étudier toutes les pistes : Johnny, qui faisait la manche dans le métro
avec les deux jeunes filles assassinées, le bar du Cormoran où Johnny les a
présentées à Steve, celui qui, après les avoir droguées, les a amenées chez
la « Maîtresse », le chauffeur du camion qui a renversé la fausse ambulance
qui amenait Sylvie et Marie-Christine de la maison de plaisir à la maison de
dressage, - accident qui leur permit de s'échapper -, le chauffeur de taxi
qui transporta les « victimes » de l'accident... Par Johnny, arrêté par FTN,
ils retrouvent un des rabatteurs du réseau : mais le tueur l'abat. Steve
subit le même sort, après s'être trouvé nez à nez avec Scorda au Cormoran. La
barmaid, durement secouée par l'inspecteur, « donne » un autre rabatteur ;
les policiers sont une nouvelle fois devancés par le tueur. Heureusement, ils
retrouvent une autre fugueuse évadée, dont le récit leur permet de découvrir
la maison de « dressage ». Elle est vide... mais un client s'y présente ; M.
Lamblin, un « honorable » industriel, qui finit par donner l'adresse de la
maison de plaisir. Les policiers s'y ruent, libèrent les « pensionnaires » et
arrêtent la « Maîtresse » - que le tueur abat avant d'être tué par Wanda.
Mais, devant l'ampleur du scandale, l'affaire est sur le point d'être
étouffée. Elle ne le sera pas. La justice va pouvoir suivre son cours. |