Accueil/Home

La vie, l’amour, la mort (1968)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisateur : Claude Lelouch

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

Amidou

François Toledo

Caroline Cellier

Caroline

Janine Magnan

Janine

Marcel Bozzuffi

Commissaire Marchand

Pierre Zimmer

Un officier de police

Yves Gabrielli

Un officier de police

Catherine Samie

Julie

Lisette Bersy

Hélène

Albert Naud

L’avocat de la défense

Jean-Pierre Sloane

Le procureur

Nathalie Durrand

Sophie

Rita Maiden

Une prostituée

Pierre Collet

Le bourreau

Jean Collomb

Le gérant du motel

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 Les policiers traquent inlassablement François Toledo, un ouvrier, qui a fait connaissance il y a quelques jours de Caroline, une employée qui travaille à la même usine que lui. Leur entente, morale et physique, est parfaite et François, pour la première fois de sa vie, se sent un homme apaisé, serein. C'est juste à ce moment-là que la tragédie fond sur lui ; il est arrêté avec sa maîtresse dans un hôtel de passe. L'interrogatoire commence. En même temps, nous apprenons que François est marié, qu'il a une petite fille, qu'il mène une vie familiale normale, bref qu'il serait un Français moyen parmi tant d'autres si une obsession maladive ne le tenaillait continuellement sans lui laisser de répit : son impuissance partielle avec les prostituées qu'il ne peut s'empêcher d'aller trouver pour lancer comme un défi à sa propre hantise. Cette impuissance l'a poussé à assassiner deux prostituées à Paris et une à Nîmes. Peu à peu, les policiers enserrent François dans un réseau de preuves auquel il ne peut plus échapper. Sa maîtresse et sa femme apprennent en même temps qui il est et s'abîment toutes les deux dans une douleur commune. Le procès a lieu. François est condamné à mort : les jurés n'ont retenu en sa faveur aucune circonstance atténuante. Dans sa prison, toute sa vie lui revient en mémoire. Evidemment, les jurés impersonnels ne peuvent comprendre que, depuis quelques jours, depuis sa rencontre avec Caroline, il était devenu un autre homme, à l'âme et à l'esprit comme neufs. Et c'est cet autre homme qui, à l'aube sinistre de son dernier jour, présente son cou à la guillotine.