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Les jours de Volotchaievka (1938)

(Volochayevskiye dni)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisateurs : Serge et Georges Vassiliev

 

Fiche technique : ici

 

 

CASTING

 

Varvara Myasnikova

Macha Trofimytch

Nikolai Dorokhin

Aleksandr Morozov

Andrei

Trofimytch, père de Macha

Lev Sverdlin

Colonel Oussijima

Boris Blinov

Boublik

Vladimir Lukin

Egor, vieux partisan

Boris Chirkov

Le vieil homme

Yuri Lavrov

Grichine

Vassili Gushchinsky

Esaul

 

 

 

 

SYNOPSIS

 

 1918. La guerre civile fait rage en Extrême-Orient. L'Armée rouge lutte contre l'Armée blanche. Mais voici un nouvel adversaire. Dans la rade de Vladivostok, une escadre japonaise apparaît. Sur ordre du colonel Oussijima, chef d’escadre, le Garde blanc Grichine tue l'horloger Outsida, un Japonais habitant la ville. Cela sert de prétexte à Oussijima pour débarquer des troupes, soi-disant pour protéger la population japonaise. Le Parti envoie hors de la ville occupée l'ouvrier bolchevik Andreï afin qu'il organise et rassemble les unités de partisans dispersées dans la taïga. Andreï confie à la jeune partisane Macha, fille du mécanicien Trofimytch, la tâche d'entretenir les liens avec l'organisation du Parti. Ce dont s'acquitte Macha.
La troupe d'intervention, commandée par le colonel Oussijima, s'empare d'un gros bourg de la taïga. Là, avec l'aide d'un opérateur de cinéma japonais, il met en scène l'accueil chaleureux des soldats japonais par les paysans russes. Mais quand la mascarade est terminée, le colonel se comporte cruellement envers la population. Pendant ce temps, les partisans, commandés par Andreï, le marin Boublik et le vieux Partisan Egor, commencent à préparer leur offensive contre les forces de l'Intervention. Les Japonais demandent un armistice. Mais ils profitent de cette pause pour organiser une contre-offensive. Andreï et Macha (devenue sa femme) manquent de devenir les victimes de la provocation japonaise. Mais des unités de l'Armée rouge arrivent en renfort et secourent les partisans. Commence alors l'attaque du dernier repaire des Japonais, Volotchaevka. Les combats sanglants se terminent par la retraite des Japonais. Le dernier peloton des Intervenants est obligé de quitter le territoire du pays des Soviets.