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  La terreur des dames (1956)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisateur : Jean Boyer

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

Noël-Noël

Aimé Morin

Jacqueline Gauthier

Henriette Bonnel

Yves Robert

Labarge, journaliste

Jacqueline Pagnol

Louisette

Noël Roquevert

Bonnel

Suzet Maïs

Mme Genlis

Jean Poiret

Un gendarme

Michel Serrault

Un gendarme

Fernand Sardou

Le commissaire

 

Jack Ary

Paul Bonifas

Henri Crémieux

René Bourbon

André Dalibert

Robert Destain

Luce Fabiole

Gib Grossac

Christian Lude

Nina Myral

Hélène Tossy

Joëlle Robin

Dany Cintra

Françoise Vallery

Elaine Dana

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 Aimé Morin, brave et honnête libraire de province, candidat aux élections et fiancé à Mme Genlis qui n'en veut qu'à son argent, est, au cours d'un voyage à Paris, victime des machinations du journaliste Labarge, ami de ses adversaires politiques, qui l'entraîne dans une boîte de nuit spécialisée dans le strip-tease. Le spectacle auquel il assiste et le champagne font qu'au petit matin il est passablement gris lorsqu'il reprend son train, chargé d'emplettes hétéroclites pour un grand nombre de ses concitoyens. Dans son compartiment, il est seul en compagnie d'une charmante jeune femme, qui a chaud et enlève sa veste, il n'en faut pas plus pour que Morin, obsédé par le spectacle de la veille et encore sous l'effet de l'ivresse, tente inopinément d'embrasser la jeune dame qui tire aussitôt la sonnette d'alarme. Morin est remis aux gendarmes en présence de « sa victime ». Son cas est aggravé par le fait que dans sa valise on trouve des objets « suspects » (soutien-gorge, etc.) et on l'accuse de vilaines mœurs. Il rentre chez lui déshonoré et accablé. Sa fiancée le somme d'arranger l'affaire. Morin s'arme de courage pour affronter Bonnel, le terrible mari de la dame outragée. Il se présente à son hôtel comme client, se réservant de s'expliquer dès qu'une occasion se présentera. En attendant il se réfugie dans sa chambre où une gentille jeune fille, Louisette, nièce de l'hôtelier, vient lui servir ses repas. Ce client timide lui est sympathique. Elle ne se doute pas qu'il est le « satyre » dont tout le village parle. Labarge, ayant fait la connaissance de Mme Bonnel et qui s'entend si bien avec elle permet involontairement à Morin, qui a repris un peu d'assurance, de menacer avec l'aide de Louisette Mme Bonnel en portant à la connaissance de son mari ses agissements avec Labarge si elle ne se désiste pas de sa plainte en justice. Ce qu'elle fait, non sans essayer de jouer encore quelques vilains tours à Morin. Morin, libéré de tous ses soucis, abandonnera la politique et sa fiancée pour aller vers le bonheur paisible en compagnie de Louisette.