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La Madelon (1955)

 

 

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madelon

 

Réalisateur : Jean Boyer

 

Fiche technique: ici

 

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CASTING

 

Line Renaud

Madeleine Thuilier, dite La Madelon

 

Jean Richard

Antoine Pichot

Roger Pierre

Caporal Beauguitte

Pierre Larquey

Le curé

Georges Chamarat

Auguste Thuilier

André Valmy

Van Meulen

Gilbert Gil

Un officier

Michel Flamme

Un officier

Jacques Dynam

Le chasseur de Chez Maxim’s

Jean Martinelli

Colonel Saint-Marc

Peter Walker

Un Américain

Jess Hahn

Le général Gibson

Emile Genevois

Un soldat

Jacques Hilling

Un soldat

Patrick Dewaere

Un enfant

Georges Baconnet

Le père Michot

Robert Dalban

La Tringle

Robert Rollis

Julot

Jean Carmet

Mathieu

Noël Roquevert

Commandant Martin

Edmond Ardisson

Un infirmier

Jack Ary

Un blessé

Robert Blome

Un Belge

André Dalibert

Un Normand

Jacques Eyser

La Chappelle

Charles Lemontier

L’aumônier

Robert Destain

Le diseur

Albert Michel

Un paysan

 

Daniel Ceccaldi

Odette Barencey

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 1914. « Le Tourlourou » est le café de Ganchery, un village de la Marne. La Madelon est la fille du tenancier : alerte, pas bête, courageuse et propre. Elle aime un « caporal en tenue de fantaisie », Beauguitte ; mais elle aime, au-delà, tous ces soldats du 57e qui viennent de gagner la Marne et qui remontent en ligne. Elle a aussi un soupirant ridicule : Antoine, le fils du premier adjoint. Elle l'a planté là, en pleine mairie, en entendant les clairons du régiment. De fureur, l'adjoint a fait, en l'absence du maire mobilisé, fermer « Le Tourlourou » ; Madelon file à Paris, découvre son officier-maire chez « Maxim's » et revient avec l'ordre de réouverture du « Tourlourou ». Sur ce, Antoine, à toute extrémité, écrit une lettre anonyme accusant Beauguitte de songer à épouser une Parisienne. Madelon pleure mais vite prend une décision : elle ne s'avouera vaincue qu'en apprenant la chose de la bouche même de celui qu'elle aime. Elle se met donc en tête de le retrouver et part pour le front. Nous assistons alors aux aventures multiples d'une Madelon bourlinguée de la cour d'un hôpital à l'état-major en passant par les services du deuxième bureau, puis traversant les secteurs anglais et belges pour enfin atterrir dans l'abri d'une tranchée où elle apprend la disparition de Beauguitte. Et, toujours à ses trousses, Antoine qui regrette sa noire machination et qui la sait capable de tout. Résultat : Antoine, pris pour un espion, passe un mauvais quart d'heure ; ensuite de quoi il s'engage. Madelon, elle, croyant Beauguitte mort, se fait infirmière au front. Et nous retrouvons bientôt un Antoine aguerri, médaillé (grâce à une rage de dents.) et qui, rencontrant un Beauguitte évadé et bien en vie, s'emploie à le conduire à Madelon. Cette fois, Madelon ne s'enfuira plus de la mairie.