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Vivre sa vie (1962)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisateur : Jean-Luc Godard

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

Anna Karina

Nana Kleinfrankenheim

Sady Rebbot

Raoul

André S. Labarthe

Paul

Guylaine Schlumberger

Yvette

Gérard Hoffman

Un copain du milieu

Monique Messine

Elisabeth

Paul Pavel

Le journaliste

Dimitri Dineff

Un client

Peter Kassovitz

Le jeune homme

Eric Schlumberger

Luigi

Brice Parain

Le philosophe

Henri Attal

Arthur

Gilles Quéant

Un client

Marcel Charton

Le policier

Mario Botti

L’Italien

Laszlo Szabo

L’homme blessé

Jean-Paul Savignac

Le soldat au bar

 

Alfred Adam

Dominique Zardi

Jean Ferrat

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 En douze tableaux sous-titrés, J.-L. Godard suit le cheminement douloureux de la jeune Nana, vendeuse dans un magasin de disques, que des difficultés diverses font devenir, d'abord une prostituée « amateur », puis une prostituée professionnelle. Après avoir partagé la vie d'un journaliste raté dont elle a eu un enfant (qu'elle a mis en nourrice), Nana, seule, gagne difficilement sa vie quotidienne. Un jour, il lui manque 2 000 francs pour régler son loyer. La concierge l'empêche de regagner sa chambre. Nana, désemparée, se rend au cinéma et pleure des larmes bienfaisantes à la projection du film « Jeanne d'Arc » de Dreyer. Cette aspiration à la pureté et au sacrifice, Nana en éprouve une nostalgie profonde. Mais, en sortant, elle accepte de suivre un homme qui l'a dévisagée et qui va lui assurer un gîte pour une nuit. Par la suite, elle rencontre une ancienne camarade, Yvette, qui exerce « le métier » dans le quartier de Réaumur-Sébastopol. Yvette présentera Raoul - « un souteneur » - à Nana et ce sera sa chute finale. Embrigadée dans une maison de prostitution, Nana promène un regard douloureux sur cet univers qui sera désormais le sien. Rapidement, Nana veut s'émanciper et échapper à l'emprise tyran-nique de Raoul. Mais, au cours d'un règlement de comptes, elle est atteinte par une balle et rend le dernier soupir, sur le trottoir, dans la plus tragique des solitudes.