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Le chêne d’Allouville (1980)

(Ils sont fous ces Normands)

 

 

 

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Réalisateur : Serge Pénard

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

Jean Lefebvre

Albert Lecourt

Bernard Menez

Bernard Lecourt

Henri Guybet

François Lecourt

Pierre Tornade

Henri Brainville

Philippe Nicaud

Charles Crétois

François Dyrek

Roger Dubois

Isabelle Gautier

Marylène Brainville

Catherine Morin

Prisca

Jean-Pierre Darras

Le ministre de la culture

Nicolas Peyrac

Le chanteur

Max Meynier

L’animateur

Denise Bailly

La Mélie

Jacques Giraud

Le brigadier

Luc Delhumeau

Tartuffe

Jean-Claude Poirot

Le préfet

Katia Esders

Mme Crétois

Jean-Luc Moreau

Le metteur en scène

Alphonse Boudard

Le guide

Jean Louvel

Le lieutenant des CRS

Bernard Mallochet

Miramar

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 Le chêne d'Allouville, treize fois centenaire, est menacé par l'élargissement de la route qui traverse ce petit village normand. Son maire, Brainville, est venu porter la décision du conseil municipal au député, qui voit un intérêt personnel à ces travaux et promet de lui obtenir la Légion d'Honneur. Mais déjà le village s'organise : Bernard Lecourt, le curé, à la sortie de la messe, prend la défense du chêne qui abrita naguère un ermite ; à la suite de son prêche, le conseil municipal, à l'exception de Dubois qui reste fidèle au maire, démissionne et les habitants forment un comité de défense dont la présidence est confiée à André Lecourt, père du curé et ancien maire. Son autre fils, François, s'y joint après avoir subi le chantage de Dubois, et parce qu'il fait partie des plus ardents opposants au projet ; la belle Marylène, fille de Brainville, qui a quitté le domicile familial. Grâce à une station de radio, la France entière est mise au courant de ce nouveau mouvement de résistance. Le maire et Dubois sont faits prisonniers. Les barricades se dressent et lorsque, sous l'inspiration du député, le préfet lance l'attaque, les CRS doivent reculer sous des bombardements de betteraves et consentir une trêve. Grâce à une journaliste, Prisca, un peu amoureuse du curé contestataire, André est reçu par le ministre de la Culture, puis par le président de la République qui ordonne de mettre fin à un assaut qui tournait mal pour les villageois. Brainville admet qu'il a eu tort et accepte de donner la main de sa fille à François Lecourt. Un banquet de mariage consacre la réconciliation du village à l'ombre du chêne.